«La robotique couplée à l’IA change la donne !»
CHRONIQUE – Il est temps de repenser l’orientation de nos enfants afin de les diriger vers les métiers qui résisteront le mieux à la déferlante de l’IA, c’est-à-dire ceux qui associent la tête, le cœur et la main .
Les campagnes électorales n’en ont pas dit un mot, mais c’est pourtant un sujet majeur, peut-être bien le plus crucial entre tous, non pas pour demain, mais déjà aujourd’hui. Quand l’IA générative a fait son apparition, beaucoup ont pensé que son impact sur le monde du travail serait réservé aux cols blancs. Alors que dans les anciennes révolutions industrielles, l’automatisation attaquait des emplois manuels et répétitifs, c’était désormais les bacs + 5 qui seraient sur la sellette.
Comme l’écrivait Daniel Susskind dans son livre, Un monde sans travail, « des tâches qui font appel au jugement humain, à la créativité ou même à l’empathie peuvent aujourd’hui être automatisées. Même les diplômes ne protègent plus contre cette automatisation. Jusqu’à très récemment, nous pensions que la créativité, essence même des êtres humains, échappait à l’automatisation. C’est raté. Et c’est une mauvaise nouvelle pour de nombreux cols blancs et cadres » .
Cette argumentation n’est pas fausse et il est…
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